L’équipe Pollinium

Les acteurs de POLLINIUM ont tous un point commun : ils sont à la fois fascinés et passionnés par l’extraordinaire monde des abeilles – et aussi inquiets du dérèglement continu de nos écosystèmes.

Une équipe est riche d’une diversité de compétences. Des hommes et des femmes qui sèment, à leurs manières, quelques graines pour que notre société prenne un peu plus conscience des enjeux environnementaux auxquels notre monde est confronté.

Nos apiculteurs partenaires, au nombre de 18 en 2021, des femmes, des hommes, sont des professionnels, des semi-professionnels, des techniciens Sanitaires du GDSA, et/ou des amateurs confirmés dans la conduite des ruches.

Cette communauté est complétée par des apiculteurs ayant une double compétence : animateur, journaliste, conférencier, consultants en sociologie des organisations.

Notre VOCATION : SAUVEGARDER LES ABEILLES et MAINTENIR LA BIODIVERSITÉ

Nous sommes animés par la volonté de participer activement à la sauvegarde des abeilles et de nos écosystèmes.

Notre action vise à démultiplier le message sur la nécessité de prendre enfin soin de notre environnement, message relayé à travers les organisations et les entreprises. En s’impliquant dans cette démarche, ces dernières sensibilisent leurs parties prenantes, salariés, fournisseurs, clients et autres partenaires.

Notre AMBITION

Nous déployer sur le territoire national et mailler ce dernier de ruchers. Pour que les abeilles participent au maintien de la biodiversité sur l’ensemble de nos régions.

AIDER les APICULTEURS, en particulier les jeunes qui démarrent 

Seuls les apiculteurs œuvrent sur le terrain pour maintenir les abeilles en vie sur nos territoires. Sans eux, elles auraient probablement disparu, avec des conséquences que nous n’imaginons même pas. 

Ce métier est difficile. Il nécessite une bonne formation et sa mise à jour constante, ainsi que de nombreuses manipulations de charges. Par ailleurs, l’affaiblissement continu des colonies a pour conséquence une baisse du rendement apicole. Il leur est donc nécessaire d’élever de nouvelles colonies pour compenser la mortalité et augmenter le nombre de ruches en production. Sans cela, il n’est pas possible de vivre décemment de cette activité.

Les jeunes qui se lancent ont besoin d’être soutenus, les investissements de départ étant importants. Pollinium le fait modestement en confiant à ceux qui le souhaitent un complément d’activité qui leur apporte une certaine sécurité financière.

Nos éco-systèmes se dégradent

La nature et les écosystèmes dans lesquels nous vivons se dégradent jour après jour :

– Les ressources consommées par l’activité humaine sont chaque année plus importantes et surtout plus importantes que celles régénérées par la nature : ainsi, en 2021, nous avons utilisé 74 % de ressources en plus de celles produites par la planète, consommant ainsi les réserves accumulées pendant plusieurs millions d’années. 

– le réchauffement climatique est une réalité dont les scientifiques nous prédisent les conséquences catastrophiques : développement des zones désertiques, montée du niveau des océans, famines dans les pays pauvres, migration, vers les pays riches, des populations affamées ou chassées par la montée des eaux, etc. 

Démultiplier la prise de conscience cytoyenne

RECONNECTER NOTRE SOCIÉTÉ AU VIVANT

L’abeille est une magicienne. Son observation nous reconnecte instantanément à la nature. Observer les butineuses voler de fleur en fleur est un spectacle dont personne ne se lasse. A travers elles, c’est aussi notre environnement que nous découvrons : le cerisier en fleurs, le jaune intense des pissenlits, le parfum de la lavande…

Quel que soit le public, l’invitation à observer la vie, que ce soit lors d’une balade en nature ou lors d’une de nos animations, est l’occasion d’un émerveillement. Nous retrouvons notre curiosité d’enfant et reprenons conscience du monde dans lequel nous vivons. 

« Nos vies nous ont coupé de la vie »

Notre ambition est aussi, à travers les interactions que nous avons avec l’ensemble des organisations partenaires, de démultiplier ces instants de reconnexion au vivant. C’est notre façon de contribuer à une prise de conscience la plus large possible.